Post-industrialisation

Erro, Renault Scape, 1984


Les ramifications de la période industrielle duraient pour longtemps pendant la période postindustrielle, et une des industries la plus affectée par le progrès d’industrialisation était l’industrie automobile.  Renault Scape (1984) est un œuvre d’Erro qui montre les effets de l’industrie sur la France postindustrielle.



Arman, Long Term Parking, 1982


Un autre artiste concerné avec la culture de la voiture et ses effets dans la société est Arman.  Arman utilise des objets qui sont rejeté comme des déchets  et les transforme dans œuvres d’art.  Avec Long Term Parking, Arman adresse le gaspillage qui est inhérent dans une société matérialiste, et il focalise sur l’industrie automobile.  Cette industrie est une dans laquelle la technologie cause les véhicules à devenir démodé et subséquemment rejeté.  La sculpture dans la forme d’un tour est composée de soixante voitures et vingt tonnes de béton, montant à une taille de dix-huitièmes mètres (soixante pieds).




Arman, Espoir du Paix, 1995


Espoir du Paix est une autre sculpture d’Arman dans la forme d’un tour, et Espoir du Paix a beaucoup en commun avec Long Term Parking.  Arman a été commissionné à construire le tour par le gouvernement Libanais pour l’anniversaire cinquantième du militaire Libanais.  Il se compose de quatre-vingt-trois chars et six milles tonnes de béton.  Encore, commente sur la manière dans laquelle la technologie antérieure est toujours replacée avec la technologie nouvelle, mais ici il y a les implications d’une guerre « postindustrielle » où la technologie pouvait être très dangereuse.




Messager, Les Tortures Volontaires, 1972-1973




Avec sa série des photographes, Tortures volontaires, en 1972 et 1973, artiste féministe Annette Messager explore l’influence de la technologie dans les femmes pendant la période postindustrielle. Cet œuvre traite le sujet de la femme comme un objet être consommé dans une société de consommation. En général, les femmes étaient niées des opportunités dans l’espace publique parce que leurs talents n’étaient désirés par la nouvelle économie. Messager a pris beaucoup des photographes des femmes qui dénaturaient leurs apparences avec des procédures comme la chirurgie plastique et d’autres nouvelles technologies. Les femmes dans les photos, des objets être formée et modelée par la technologie, sont comme les voitures d’Erro et Arman. La capacité de la technologie à créer une apparence physique attractive est ce qui est de valeur dans la société postindustrielle, et quand leur apparence physique fane, la valeur des femmes baisse de plus. 







di Rosa, La panique, 1959


Combas, Saint-Sebastien, 1994


Hervé di Rosa et Robert Combas, artistes de la Figuration Libre, sont connus pour leur application de l’esthétique de la bande dessinée dans l’art. La bande dessinée évoque des notions de la nature hasarde et fragmentée de la vie, et dans La panique de di Rosa dépeint la ville moderne. Un domaine impersonnel ou la consommation guide l’économie, la ville est un monstre qui veut consommer tout. Si di Rosa montre la ville comme une influence mauvaise, Robert Combas explore les effets de telle une société sur la religion. Saint-Sébastien dépeint le meurtre brutal du martyr chrétien Saint-Sébastien par les Romans. L’idée derrière l’œuvre est que la société postindustrielle, représentée par les Roman, est un monde dérivée des valeurs religieuses ou spirituelles. Avec toutes les prétentions d’une société civilise, la violence et l’immoralité de la société postindustrielle est chrétienne de moins en moins.    


Monory, Monophonie No. 7, 2004




Jacques Monory, avec Monophonie No. 7 (2004), suggère l'influence de la nouvelle technologie des médias visuels comme la télévision et le film pour promouvant la violence, et il y a une possibilité qu'il commente sur l'infidélité et l'état problématique du mariage en France aussi.  Les deux problèmes, la violence et la dissolution du mariage, représentent un manque des valeurs religieux.






Klein, Le saut dans le Vide, 1960




Yves Klein était un avocat pour l'exploration de l'espace immatériel, un espace dépourvu des influences du monde matériel.  Le saut dans le Vide (1958) était un essai par Klein pour atteindre tel un état sans influences et pour subséquemment transmettre les qualités de cet espace à ses œuvres.  L'expérience de cet état, ou le Vide, est en partie une expérience religieuse, comme Klein et ses méthodes étaient influencés par le bouddhisme.  Ainsi, Klein argue pour un art quasi-religieux dans lequel un état spirituel est transmit par moyens des expériences religieuses de l'artiste






Forest, Interrogation, 1960




En 1969, artiste visuel Fred Forest donne le monde la première installation de vidéo, Interrogation. Pour son cadre, Forest a choisi la chapelle de Sainte-Croix en Tours. Utilisant cinq cameras, une télévision circuit fermé, un ordinateur, et quinze écrans fluorescents, Forest a créé une expérience unique dans laquelle des gens regardaient eux-mêmes sur les écrans pendant leur tour de la chapelle L’interrogation du titre est une interrogation intérieure, une contemplation des réactions et des émotions dans l’espace de la chapelle dans la présence de la technologie. Ainsi, Forest a démontré que la technologie des nouvelles medias pouvait être utilisée dans un cadre religieux pour donner des gens une expérience religieuse. C’était exemple d’un œuvre d’art qui utilise la technologie soi-même pour montre une réconciliation entre la religion et la technologie pendant la période postindustrielle.






La période postindustrielle
La période postindustrielle était un départ radical de la période industrielle.  Dans la période postindustrielle, la prédominance de la classe ouvrière et la fabrication dans la société était terminée.  Le but de la nouvelle économie propulsée par l'information serait de surpasser l'économie vieille qui a été entravé par le capitalisme. La nouvelle période accentuerait l'importance de la connaissance, l'information, et la technologie comme des ressources économiques et sociales.   Idéalement, l'accent sur la connaissance et la technologie créerait des formes d'organisation politique et économique plus communales (Brick 352).  Au lieu d'unifiant la société, cependant, l'emphase sur la technologie avait l'effet inverse et a crée une société fracturée.  L'art pendant la période postindustrielle démontre une reconnaissance des implications de la montée de la technologie et la société fracturée qu’elle a crée, particulièrement les effets de la ville postindustrielle et la consommation sur l’état de religion en France.  Plus que tout, les artistes de la période postindustrielle montrent le rôle du progrès et la montée de la technologie en créant la société fracturés.  Leurs œuvres montrent les façons dans laquelle la technologie a compromis les valeurs de la société et aussi illustrent la capacité de l'art pour démontrer les vraies utilisations de la technologie.
Pendant les Trente Glorieuses après la Deuxième Guerre Mondiale jusqu'à les années 1970s, la France avait une grande transformation sociale.  Pendant ces années, l'emphase sur la technologie a causé une migration en masse des fermes de la campagne envers les villes et les centres urbains.  Il y avait une explosion de la population et beaucoup de prospérité, et, par la fin des Trente Glorieuse, la classe moyenne a formé.  Dans son essai sur la formation du concept de la période "postindustrielle", Grant Kester explique que l'expérience de la classe moyenne dans les villes peut être caractérisée par la domination de la société de consommation et la fin des théories économiques traditionnelles et la classe ouvrière (Kester 78).  Le nouveau capitalisme postindustriel a promu un type de consommation dans laquelle des apparences étaient plus importantes que la réalité et la consommation représente la compétition pour statut social.  Avec ces motifs pour la consommation, la classe moyenne devient "l'institutionnalisation de l'envie" (Kester 78).  
Pendant la période postindustrielle, un aspect de la société qui démontre cette consommation compétitive est la culture de la voiture.  Pour la classe moyenne, la voiture est le symbole de la richesse et la position dans la société.  Il y a plusieurs artistes de la période postindustrielle qui sont concerné avec cette idée de la culture de la voiture.  Erro et Arman, dans leurs œuvres respectifs, montrent le progrès de l'industrie automobile dans la période postindustriel et comment elle a change énormément avec la nouvelle technologie de l’époque.  Renault Scape (1984) d'Erro représentent la mécanisation des voitures (et la société qui les utilise) et les effets de la technologie sur l'industrie.  L'œuvre dépeint un nombre incalculable des pièces et parties des voitures.  On peut arguer que, avec le changement rapide de la technologie dans la période postindustrielle, Renault Scape est une représentation d'une casse dans laquelle toutes ces parties ne sont plus utiles.  Les besoins des gens matérialistes changent avec la technologie parce que tout veulent les voitures nouvelles, et les styles à la mode à un temps sont rendus obsolètes à un autre.  
Un autre artiste concerné avec la culture de la voiture et ses effets dans la société est Arman.  Arman utilise des objets qui sont rejeté comme des déchets  et les transforme dans œuvres d’art.  Avec Long Term Parking, Arman adresse le gaspillage qui est inhérent dans l’industrie automobile.  Avec son art, il montre que, a moins a lui, les voitures peut encore rendre un service.  La sculpture dans la forme d’un tour est composée de soixante voitures et vingt tonnes de béton, montant à une taille de dix-huitièmes mètres (soixante pieds).  Arman commente sur comment en comptant sur la technologie comme les voitures dans plusieurs facettes de leurs vies, des gens doivent acheter des produits (très chers) qui ne marchent pas pour longtemps, et ils sont forcés à se les débarrasser.  Et ensuite, on est forcé à acheter une autre voiture.  En érigeant un tour des voitures cassé et en panne dans le béton, Arman dit que ce cycle vicieux se restera pour longtemps.  De plus, il peut être suggérant que, comme les voitures qui peuvent tomber en panne, l’avenir d’une société qui dépend sur telles machines douteuses est en doute aussi.     
Espoir du Paix est une autre sculpture d’Arman dans la forme d’un tour, et Espoir du Paix a beaucoup en commun avec Long Term Parking.  Arman a été commissionné à construire le tour par le gouvernement Libanais pour l’anniversaire cinquantième du militaire Libanais.  Il se compose de quatre-vingt-trois chars et six milles tonnes de béton.  Arman a donné la sculpture un titre très ironique, un titre qui dénonce la guerre et la folie des hommes.  La sculpture est aussi une réflexion sur les dangers et les horreurs de l’industrialisation.  Avec l’utilisation des chars, Arman, comme un artiste français, fait un lien aux deux Guerres Mondiales, particulièrement la Deuxième Guerre Mondiale.  La Deuxième Guerre Mondiale était essentiellement une guerre entre les économies des nations, une guerre dans laquelle la victoire était être décidé par l’économie qui pouvait surpasser et durer plus long que l’autre.  Le char est le symbole de la guerre mécanisée, qui, pendant les deux Guerre Mondiales, détruisait un nombre incalculable des vies.  Arman, ayant fait tel un œuvre, exprime les capacités de l’industrialisation et la dévastation qu’il a fait.  Il exprime aussi la crainte d’une telle guerre dans la période postindustrielle et encore au delà dans l’avenir.   Alors, bien qu'ils dépeignent la voiture comme le symbole de la consommation, Erro et Arman dépeignent aussi dans leurs œuvres la façon dans laquelle la technologie pouvait, éventuellement, rendre l'industrie automobile et l'industrialisation de la voiture obsolète avec le progrès de cette technologie pendant la période postindustrielle.
L'idée des effets de la ville postindustrielle sur les femmes est très importante dans l'art de la période postindustrielle.  Avec la focalisation sur la technologie, la ville est fracturée et divisée en deux sphères.  Le monde des affaires est la sphère publique qui est, pour la plupart, réservée pour les hommes.  En ce qui concerne leurs capacités intellectuelles, les femmes sont considérées inférieures aux hommes, et elles sont reléguées à l'autre sphère, la sphère privée.  Dans une société de consommation, la sphère privée est un espace domestique dans laquelle les femmes sont rendues comme un objet pour les hommes.  Avec une emphase sur leurs apparences physiques, souvent les femmes change leurs apparences avec la chirurgie plastique et d'autres procédures.  En d'autres termes, la technologie est utilisée pour augmenter leurs traits physiques.  Si Erro et Arman ont démontré comment les qualités des voitures sont rendant obsolète avec l'évolution de la technologie, Annette Messager est concernée avec l'impact de cette technologie dans les vies des femmes.  Avec la montée de la technologie, leur beauté naturelle et inhérente devient obsolète, et elles sont encouragées à changer leurs apparences.  Son œuvre Tortures volontaires (1972-1973) montre comment les femmes sont transfigurées avec la technologie.  L'œuvre consiste de quelques photographes des femmes qui subissent plusieurs types de procédures pour augmenter leurs apparences physiques.  Pour Messager, la structure de la ville moderne entretien ce déplacement des valeurs où une beauté crée par la technologie est préférable à une beauté naturelle. Ainsi, les femmes sont comme des voitures, des « objets » pour le plaisir qui sont affectée dans une société postindustrielle concernée avec la technologie.
Avec la prééminence de la technologie, la science, et les idées nouvelles pendant la période postindustrielle, certaine idées plus traditionnelles étaient abandonnées, particulièrement ceux de la religion et la spiritualité de la France du passé.  La technologie rend la vie plus facile, et il y a une désire pour une vie de plaisir facilitée par la technologie (Kester 77).  Cette tendance postindustrielle est alarmante parce que les idéals et les idées chrétiens sur lesquels la France a été fondé commençaient à disparaitre.  Dans l'économie postindustrielle, l'éthique du travail et la moralité sont remplacé avec désires pour la richesse facile et des biens matérialistes (Brick 359-360).  La période postindustrielle offre beaucoup d'évidence de tel un déclin dans la spiritualité en France.  Pendant les années 1948-1987, le nombre des prêtes en France était tombé de 42,650 en 1948 à 28,000 en 1987 (Hervieu-Léger 17).  Aussi, il y a un parallèle directe entre les régions « économiques » et des régions moins développés.  Les villes et des régions de communication et d'exchange étaient moins religieux, où les régions agricultures était plus dévots (Hervieu-Léger 17). En tout, dans la société postindustrielle il y a une fracture ou un vide entre la religion et la spiritualité et les valeurs dans la vie quotidienne des gens.
Il y avait plusieurs artistes qui ont adressé l'existence d'un vide dans la religion et la spiritualité français.  Artistes de la Figuration Libre comme Hervé di Rosa et Robert Combas ont adressé le problème de la ville postindustrielle et la tombe de la religion en France dans leurs œuvres.     Avec La Panique (1959), di Rosa donne telle une société une réflexion de soi-même, des gens qui serait dévorée par le monstre de la ville moderne.  La monstruosité de la ville peut être vu être le matérialisme qui accompagne l’accent sur la technologie. Combas a fait Saint-Sébastien en 1996 pendant une décennie dans laquelle le nombre des Catholiques déclarés en France est tombé de 80% à 67% (Samuel).  Saint-Sébastien était un martyr chrétien tué par les Romans, Comas veut établir un lien entre le passe et le présent, un lien qui montre le décline des croyances religieuses.
Jacques Monory est plus concerné avec la capacité de la société postindustrielle, avec la proéminence de la télévision, l’influence lourd du film et d’autres medias visuels, et l’expansion de la presse, pour exposer de plus en plus des gens à la violence.  Son œuvre Monophonie No. 7 (2004) semble d’être une telle attaque sur la représentation de violence.  Avec son titre (la monophonie) et la teinte bleue (une référence à Yves Klein), la peinture évoque le jazz, et en évoquant ce type de musique, Monory commente sur  la façon « cool » dans laquelle la violence est représentée dans le film.  C’est l’idée que la nouvelle technologie des nouvelles medias et l’omniprésence de ces medias distribue des idées maux comme la violence. Les criminels et la violence sont rendus dans une façon attirante et quelquefois amusante.  La scène ici a lieu dans l’espace privée, montant que la violence a envahi l’espace privée.  Aussi, l’utilisation de bleu évoque l’idée d’un rayon X.  Monory montre que l’assassin, dans sa boite à violon, porte une arme à feu.  Il est arrivé pour tuer la femme, et Monory peut être commentant sur l’état de mariage dans la société postindustrielle.  Pendant la période-industrielle et particulièrement pendant les trente années derniers, les taux de mariage en France avaient plongé.  Avec un autre homme partant sa salle, la femme, comme représentée ici, semble d’être démontrant de promiscuité sexuelle.  En tout, avec Monophonie No. 7, Monory attaque plusieurs problèmes d’une société postindustrielle. Les traitements des implications de la ville moderne et l'état de la religion en France de ces trois artistes concernent une perte et une manque des bases religieuses et spirituelles.  Pour di Rosa, les pressures de l'économie basé sur la technologie et une culture matérialiste dans la ville postindustrielle déforment toute moralité et bon sens qui se dérivent de la religion traditionnelle en France.  Pour Combas et Monory, il y avait une décline évident des valeurs religieuses pendant les années des 1990s et 2000s.  Les trois artistes, di Rosa, Combas, et Monory, adressent les problèmes de la ville moderne et la fracture de la société causée par la crise de la religion en France.  
Cependant, il y avait d'autres artistes qui démontrent que ses œuvres pouvaient former un lien entre l'art, la religion, et la technologie.  Avec leur style  minimal et des qualités métaphysiques, d’autres œuvres de Klein comme Le Vide (1958) et Monochrome bleu sans titre (1960) étaient emblématiques  d’un départ de représentations figuratives.  Ils étaient représentations picturales de l’espace soi-même.  Klein était fasciné avec cette idée d’espace, ce qu’il terme « le Vide ».  Le Vide est comme un domaine ou une zone métaphysique qui est dépourvu de toutes influences du monde physique et matériel.  Le vide est donc un espace immatériel, invisible et intangible.  Cette « zone métaphysique » est influence lourdement par le bouddhisme, une religion qui dénonce le matérialisme. Plus que tout, les œuvres d’Yves Klein inclurent une exploration  de cet espace qui entoure ces œuvres et œuvres d’art en général.  Klein croyait que, en représentant le Vide, un œuvre est imprégné avec certaines qualités immatérielles de l’espace de l’artiste.  C’était le devoir de l’artiste (un devoir quasi-religieux), à l’avis de Klein, à visiter le Vide lui-même pour connaître l’espace et pour transmettre les qualités immatérielles dans son art.  Le saut dans le Vide (1960) était, ainsi, un essai sur la partie de Klein pour arriver au Vide.  L’expérience de l’artiste dans l’espace du Vide est comme un état transcendant.  L’œuvre était  une réaction artistique contre  un monde matériel et une société matérialiste de plus en plus.  Son œuvre doit être vu dans le contexte du monde physique, mais Le Saut dans le Vide exprime que tout le sens et la signification inhérente de l’œuvre donné par l’artiste doivent exister dans un autre espace à part du monde physique et une société matérialiste.  
Un artiste qui a combiné l'art, la religion, la technologie est Fred Forest.  Son œuvre Interrogation (1969) a reflète la capacité des médias nouvelles pour représenter la religion dans une façon qui amène des gens ensemble et qui offre un mesure de réflexion personnelle, l'opportunité  de laquelle est trop souvent nié aux gens par une société postindustrielle fondé sur la technologie impersonnelle. Son œuvre peut être capable de démontrant le but ultime d’art : découvrir la vraie signification de la technologie (Gidney 150). Dans la période postindustrielle, Forest et d’autres artistes montre qu’il doit être un rapport entre la montée de la technologie dans la société et l'art. Tous ses œuvres sont concernés avec la technologie et l'idée de son déplacement des valeurs vertueux en faveur d'autres éléments d'une société matérialiste de plus en plus. Pour les artistes de la période postindustrielle, ainsi, les impacts négatives de la technologie dans la société peuvent être contremandé par la représentation des effets de technologie dans l’art et particulièrement en utilisant la technologie dans l’art dans une façon qui affirme le potentiel du nouveau moyen en essayant à mener les problèmes qu’elle a créé.

Works Cited


Brick, Howard. “Optimism of the Mind: Imagining Postindustrial Society in the 1960s and
1970s”. American Quarterly, Vol. 44, No. 3 (Sep., 1992), pp. 348-380. The Johns Hopkins University Press.
Gidney, Eric. “Art and Telecommunications: 10 Years on”. Leonardo, Vol. 24, No. 2,
Connectivity: Art and Interactive Telecommunications (1991), pp. 147-152
The MIT Press.
Henry, Samuel. “France ‘no longer a Catholic country’”. The Telegraph, 12:01AM GMT 10
Hervieu-Léger, Danièle. “Religion and Modernity in the French Context: For a New Approach
to Secularization”. Sociological Analysis 1900, 51:S S15-S25. Centre National de la Recherche Scientifique, Paris.
Kester, Grant H. “Out of Sight Is out of Mind: The Imaginary Space of Postindustrial Culture”.
Social Text, No. 35 (Summer 1993), pp. 72-92. Duke University Press.